Catégories : Aux pieds des femmes Pony-play Pets-play Puppy-play FANTASME Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 5 heures
Nous étions en décembre, et les fêtes de fin d’année approchaient. Nous avions décidé, ou plus exactement ma Maîtresse avait décidé que nous passerions le jour de Noël en famille et que le soir du réveillon, nous le passerions tous les deux. En effet, chaque année, nous étions toujours invité pendant ces fêtes, et il était toujours difficile pour nous de vivre pleinement ces moments comme nous le souhaitions.
C'est-à-dire à nos places respectives. Devant nos familles et amis, nous étions par convenance obligée de nous adapter à la situation. Je passais donc ces fêtes à table, assis à coté d’elle. Et même si je respectais mes devoirs envers elle, c'est-à-dire ne jamais lui couper la parole, servir son verre toujours en premier, toujours lui demander d’un regard discret son assentiment pour me servir ou me lever pour aller aider, nous étions toujours un peu frustrés de ne pouvoir vivre vraiment cette fête en respectant notre mode de vie.
Alors cette année, ma Maîtresse voulait avoir le plaisir de vivre cette fête avec son petit chien. Elle voulait que je vive Noël à ma place et elle à la sienne.
Le jour du réveillon, ma Maîtresse s’absenta toute la journée pour aller avec une amie se promener dans les magasins Parisiens. Elles avaient toute les deux des cadeaux à trouver, mais elles étaient surtout heureuse de pouvoir passer cette journée à se promener ensemble. Pour la soirée, elle me laissa carte blanche pour préparer ce réveillon. Et pour que je puisse m’organiser tranquillement, elle m’indiqua juste qu’elle arriverait à 20 heures précise. Elle se changerait chez son amie, et dès son arrivée, elle voulait trouver son petit chien à sa place, et que tout soit près pour qu’elle puisse passer un bon réveillon.
Le matin je m’occupais de lui faire un joli sapin de Noël et je décorais l’appartement pour l’occasion. Puis ensuite je préparai le repas. De bonnes choses tout en restant simple. Elle ne voulait pas que je passe mon temps à la cuisine, en étant seule à table à m’attendre. Alors je préparai du foie gras, du saumon, des escargots. Le champagne et le dessert étaient au frais. Je passa ensuite une partie de l’après midi à tout nettoyer.
Tout devait être nickel, et une odeur de propreté devait planer dans l’appartement. J’allumai aussi quelques bougies parfumées. Puis je mis la table. Sur une belle nappe que j’avais achetée pour l’occasion, je plaçais son couvert. A la droite de l’assiette, assez éloigné mais tout en restant à porté de main, je plaçais également sa cravache et son martinet correctement alignés. J’espérais qu’elle n’en n’aurait pas besoin, mais en ce jour de Noël, ma Maîtresse avait aussi le droit de s’amuser.
Aux pieds de la table, à sa droite, je posais par terre mes deux gamelles en inox. L’une pour l’eau et l’autre pour manger. Une fois que tout fut près, j’allais prendre ma douche et me préparer pour être bien rasé et bien parfumé.
Enfin 20 heures allaient sonner, et j’attendais donc ma Maîtresse dans le couloir près de la porte. Dès que j’entendis les clefs dans la serrure, je me positionnais correctement, à genoux, la tête bien baissée et les mains dans le dos. Ma Maîtresse entra et trouva avec bonheur son homme à sa place. Elle retira son manteau et vint ensuite se placer devant moi.
- Bonjour Marco, me fit elle en me présentant le dos de sa main.
- Bonjour Maîtresse répondis-je de suite.
Puis je fermais les yeux et déposait ensuite des dizaines de petits baisers sur le dos de sa main. Elle aimait me voir ainsi l’honorer. Puis quand elle jugea que c’était suffisant, elle me caressa alors la joue. Je savais que cela voulait dire que je pouvais continuer le rituel en allant embrasser ses chaussures. Je me prosternais alors en veillant bien à ma cambrure, et avec passion je déposais des baisers sur ses bottes. Puis je frottais ma joue contre le cuir pour bien montrer mon plaisir et ma dévotion.
- C’est bien marco, à ta place maintenant.
Je reprenais alors ma position de soumis. Elle accrocha ma laisse qui pendait dans l’entrée, puis je la suivis à quatre pattes dans le salon. Comme elle aimait beaucoup me promener ainsi, elle me fit faire le tour de l’appartement pour regarder toute la décoration. Elle était très contente. La soirée commençait bien pour moi.
Elle s’installa ensuite dans le canapé, puis retira ma laisse pour me laisser libre afin que je puisse la servir. J’amenais le champagne dans un sceau à glace. Même si cela me faisait mal aux genoux, je m’efforçais de lui apporter en « marchant » à genoux. En ce soir de Noël, ma Maîtresse n’aurait pas apprécié me voir debout, ce qui ne correspondait pas du tout à ma place. Je posais le sceau sur la table basse, puis reprenais ma position de soumis.
- Ma Maîtresse désire-t-elle une coupe de champagne ?
- Oui mon petit soumis, tu peux me servir.
- Bien Maîtresse
- Ensuite tu iras chercher ta gamelle pour boire. Aujourd’hui c’est Noël, on peut trinquer ensemble.
Une fois la coupe remplie, je me dirigeai à quatre pattes vers la table, et entre mes dents je rapportais ma gamelle.
- Sers-toi !
- Oui Maîtresse.
Je pris ensuite ma gamelle dans la main, et je trinquais avec le verre de ma Maîtresse.
- A la tienne chérie
- A la votre Maîtresse.
Je posa ensuite ma gamelle juste devant ses pieds, puis je lapais un peu de champagne. J’apportais ensuite les toasts que je lui présentais. Alors qu’elle me caressait la tête, ou qu’elle me présentait le dos de sa main pour que je l’embrasse, elle me racontait son après midi. Nous discutions des cadeaux qu’elle avait trouvé pour la famille et amis. De temps en temps elle me donnait un toast dans le creux de sa main, puis elle m’autorisait à laper un peu de champagne. Nous étions heureux de partager ce moment, ce premier Noël ensemble, à nos places que nous trouvions légitimes.
- Va chercher ta laisse.. J’ai envie de passer à table. J’ai très faim.
La table n’était qu’à quelques mètres, mais ma Maîtresse voulait que je marche à ses pieds pour y aller. Je lui ramenais donc ma laisse entre les dents, puis nous sommes passé à table. Une fois assise, elle retira la laisse.
- C’est bien, je suis contente de toi. Je vois que tu as bien fait les choses. Tu peux servir.
- Bien Maîtresse, répondis-je avant de gagner la cuisine, toujours à quatre pattes.
Je ramenais le foie gras que je lui présentais, puis le posait ensuite sur la table. Les tranches étaient déjà prédécoupées, et elle n’avait plus qu’à se servir. Je reprenais ma place, à sa droite, en position bien soumise après lui avoir servi le vin. De temps en temps, elle me donnait un petit bout de pain grillé avec un peu de foie gras. Elle me le tendait un peu au dessus de mon front. Je devais alors lever la tête, et délicatement l’attraper avec mes dents.
- C’est bien le chien, donne moi ta gamelle maintenant.
Elle me servit en découpant le toast en petits morceaux puis déposa ma gamelle à ses pieds. Tandis que je me positionnais pour commencer à manger, un coup de martinet vint s’abattre sur mes fesses.
- A ta place !
La voix de ma Maîtresse était sèche et autoritaire. J’obéis immédiatement.
- Ca veut dire quoi ça ? Je ne savais pas que j’avais un chien aussi mal élevé ! Qui t’a autorisé à manger ?
- Pardon Maîtresse, fis je aussitôt d’une petite voix.
- Ne t’avise pas de recommencer. Ce n’est pas comme ça que je t’ai éduqué. Compris ?
- Oui Maîtresse ! Je ne recommencerais plus. Pardon Maîtresse.
- Bien, alors soit sage ! Ne va pas me gâcher ma soirée avec ta désobéissance !
Pendant plusieurs minutes, ma Maîtresse mangea dans le silence. Je restais à genoux, les mains dans le dos et la tête bien baissée. Puis d’un coup, je vis sa main venir vers moi, puis elle fit claquer ses doigts en direction de ma gamelle. Je compris l’ordre et je mangeai alors mon foie gras.
Une fois terminé, je me redressais, et devant son verre vide, je me proposais de la resservir. Ce qu’elle accepta. Le reste du repas se déroula de la même manière. Nous discutions comme deux amoureux passant un Noël en tête à tête. Sauf bien sûr que je restais à genoux a coté d’elle, à ma place. De temps en temps, elle me caressait la tête. Elle me donna aussi un peu de vin dans ma gamelle pour que je puisse boire.
A la fin du repas, elle se plaignit que ses pieds lui faisaient un peu mal dans ses chaussures. Je compris le message et proposa à ma Maîtresse un petit massage. Comme elle acceptait, je passais sous la table et lui retira délicatement ses bottes. Je la massais ensuite avec douceur, déposait de temps à autre de petits baisers amoureux pour la détendre. Je la savais heureuse.
Nous sommes ensuite repassés au salon pour le dessert. Comme pour l’aller, elle me remit ma laisse. Je lui servis ensuite un part de bûche glacée avec un verre de champagne. Je restais à ses pieds, et de temps en temps, elle me donnait un peu de champagne dans le creux de sa main. Nous continuions de discuter normalement, tandis que je repris tendrement le massage de ses pieds. Je resservis ma Maîtresse d’une part de bûche. Mais cette fois, elle n’en mangea que la moitié. Avec sa cuillère, elle découpa ce qui restait en petits morceaux, puis posa l’assiette par terre.
- Tiens mon chéri, comme c’est Noël, tu peux manger dans l’assiette de ta Maîtresse !
- Merci Maîtresse répondis-je avec un grand sourire.
Je pris cela comme une récompense, car d’habitude je n’avais pas le droit de manger autrement que dans ma gamelle en inox. Là, j’avais l’honneur de pouvoir finir son assiette. Tandis que je me prosternais pour manger, ma Maîtresse alluma la télévision avec la télécommande, puis étendit ses jambes en les posant sur mes hanches relevées.
- Quand tu auras fini, reste à quatre pattes mon chéri… Ne dérange pas mes jambes. Je suis bien ainsi.
Je formulais un oui Maîtresse, puis continua de manger mon dessert. Je restai ensuite à quatre pattes pour ne pas déranger ma Maîtresse. Elle regardait un programme de divertissement. Je l’entendais rire. Je la savais heureuse et confortablement installée. De plus, j’avais l’habitude de servir de repose pieds à ma Maîtresse. Elle n’aimait pas étendre ses jambes sur la table basse. Elle trouvait cela vulgaire. Cela lui rappelait tant d’hommes machos qui se vautrent devant la télé pendant que leurs Femmes sont à la cuisine. Alors, comme elle aimait être confortablement installée pour regarder la télévision, elle se servait de son mâle soumis pour étendre ses jambes. Moi, je trouvais cela naturel, et j’étais heureux qu’elle se serve de moi pour son confort.
A minuit, ce fut l’échange des cadeaux.
Ma Maîtresse se redressa alors et me laissa partir à quatre pattes chercher les cadeaux. J’en avais trois pour ma divine Maîtresse, et je fis donc trois voyages, ramenant à chaque fois un paquet en tenant le ruban entre mes dents. Je les déposais à ses pieds.
- Trois cadeaux pour moi, s’exclama-t-elle en me caressant la tête. Mais je suis gâtée par mon petit mâle !
Je lui souriais amoureusement. J’étais content de la savoir heureuse, et je savais aussi que les cadeaux allaient lui plaire.
- Lequel j’ouvre en premier ? Me demanda-t-elle
Avec mes dents, j’attrapais alors le premier paquet que je voulais qu’elle ouvre, et je lui posais sur ses genoux.
Ma Maîtresse l’ouvrit et s’exclama de joie. C’était une jolie nuisette, en soie et tout en noir. Je savais qu’elle aimait beaucoup cela. J’offris ensuite mon deuxième cadeau. C’était son parfum préféré. Là aussi, elle était heureuse et radieuse. Elle me remerciait à chaque fois en me tendant le dos de sa main, que je m’empressais d’embrasser.
Quand ma Maîtresse ouvrit son troisième cadeau, c’est un immense sourire qui s’inscrivit sur son visage. Je savais que je ne pouvais pas me tromper. C’était un magnifique gode ceinture. Elle m’en avait souvent parlé, et je savais que c’était un désir très fort pour elle. Nous avions des godes à la maison, et elle aimait bien s’en servir sur moi et m’humilier de la sorte. Mais je savais qu’un de ses gros fantasmes était de pouvoir me faire l’amour vraiment, moi à quatre pattes en me tenant pas les hanches.
Elle était radieuse à la vue de cet instrument et de son utilité. Elle m’attira vers elle et on s’est alors embrassé passionnément pendant de longues minutes.
-
Moi aussi j’ai des cadeaux pour toi mon chéri. Elle se leva alors et disparut quelques instant avant de revenir avec deux cadeaux. Il y en avait un qui était immense et un autre plus petit qu’elle déposa devant moi. Sans attendre, j’attrapais le premier. Mais ma Maîtresse fronça immédiatement les sourcils, et son autorité naturelle se fit entendre..
-
Et oh ! Tu fais quoi là…. Tu veux que j’aille chercher la cravache ? Tu as été un gentil petit chien jusqu’à présent, tu ne vas pas me décevoir maintenant ?
Je reposais alors le cadeau puis repris instantanément ma position de soumis en baissant bien les yeux.
- Pardon Maîtresse, fis-je alors pour m’excusez en prenant une petite voix soumise
- Bon, alors… Un chien ne se sert pas de ses pattes ? Alors tu ouvres avec tes dents..
- Oui Maîtresse.
Néanmoins, je ne bougeais pas de place. Je ne voulais pas la décevoir une fois encore. J’attendais son ordre. Ma Maîtresse souriait. Elle était contente que je reste à ma place et que j’attende son ordre.
- Vas y mon chien, tu peux ouvrir maintenant !
Elle tenait le cadeau dans ses mains tandis qu’avec mes dents je déchirais le papier cadeau. C’était un mors avec de jolies lanières en cuir, spécialement étudié pour les mâles.
- Alors ça te plait, fit ma Maîtresse avec un large sourire.
- Oui Maîtresse répondis-je en embrassant sa main qu’elle me tendait.
- Tu seras très beau avec.. Je pense que ça t’ira bien.. Allez, ouvre donc l’autre.
Je me dirigeais vers le gros paquet qui était par terre. Avec mes dents je déchirais le papier cadeau et je découvris un panier en osier pour chien. Il était immense, adapté pour la taille des mâles. On en avait déjà vu dans les animaleries, mais même les plus gros restaient un peu juste pour moi. Elle avait du l’acheter dans un magasin spécialisé pour les mâles soumis.
Ma Maîtresse aimait beaucoup que je dorme à ma place, aux pieds de son lit, parfois devant sa porte ou dans la cuisine. Mais il est vrai que les nuits passées à même le sol sur une simple couverture provoquait souvent des courbatures importantes. Et le lendemain, ma Maîtresse était souvent ennuyée car elle ne pouvait plus se servir de moi comme elle le voulait, et les douleurs me rendaient de mauvaise humeur. Plusieurs fois, elle avait essayé un matelas pour petit lit qu’elle posait aux pieds de son lit. Cela résolvait les problèmes de courbatures, mais elle ne trouvait pas cela très beau, ni très bien adapté pour un chien.
- Comme ça, tu pourras dormir à ta place, comme un bon toutou. Et finit les courbatures ! En plus c’est plus maniable, on peut le mettre n’importe où, et en plus je trouve cela très joli. Je m’approchai alors de ma Maîtresse. J’embrassais le dos de sa main, et je léchais avidement ses doigts pour la remercier de prendre soin de moi. Puis je me prosternai ensuite pour lécher ses pieds et frotter mon visage amoureusement, comme l’aurait fait un chien content.
Ma Maîtresse regarda un peu la télévision, et devant mon empressement, m’autorisa à essayer mon panier. Il était assez grand pour que je puisse me coucher en chien de fusil, sur un petit matelas bien rembourré. J’étais heureux, mais comme il n’était pas l’heure de dormir, j’ai alors préféré revenir me coucher aux pieds de ma divine Maîtresse pendant qu’elle regardait la télé. Sans la déranger, je léchais alors tendrement ses pieds nus. Une petite demi heure plus tard, ma Maîtresse me remit aux pieds.
- Commence donc à ranger la cuisine mon chéri…Demain on part tôt, et tu n’auras pas le temps. Fait pas de bruit que je puisse regarder la télé, et quand tu auras fini tu reviendras aux pieds.. On ira se coucher ensuite…
A peine avais-je fait quelques mètres que ma Maîtresse me siffla. Instantanément, je suis revenu me placer à genoux devant elle.
- C’est le moment que tu essayes ton cadeau.
Ma Maîtresse me mit le mors.
- Tu es vraiment plus beau ainsi, me fit elle avec un grand sourire, plus soumis encore et cela va très bien avec ton collier. Maintenant, tu porteras ton mors pour les tâches ménagères.
Comme je ne pouvais plus parler, j’acquiesçais avec un mouvement de tête, puis je partis faire mon travail. Il ne me fallut qu’une petite demi heure pour tour remettre en ordre, tout ranger et tout nettoyer. J’apportais les cadeaux de ma Maîtresse dans la chambre, puis une fois tout en état, je me présentais de nouveau à genoux devant ma Maîtresse.
- Tu es vraiment très beau avec ton mors. Cela me plait beaucoup. J’ai eu raison de te l’acheter fit ma Maîtresse en me caressant la joue. Bon je vais aller prendre une petite douche. Fini de ranger le salon et tu éteins tout.
Je savais que je n’avais pas intérêt à traîner. Je finissais donc de tout ranger rapidement, et comme un bon mâle soumis j’attendais ensuite ma Maîtresse devant la porte de la salle de bains, à genoux, la tête bien baissée comme elle aimait me voir. Elle sortit avec sa nuisette que je lui avais offert. Elle était magnifique ma Maîtresse. Je l’admirais sans trop levé la tête ce qui ne lui aurais pas plus. Puis comme à son habitude, elle s’arrêta devant moi et me tendit le dos de sa main. Je m’empressais alors de l’embrasser.
- Tu es un bon chien, allez file..
Le rituel était précis. J’attendais toujours ma Maîtresse devant la porte de la salle de bains, et ensuite je la précédais à quatre pattes pour entrer dans la chambre. Je me plaçais ensuite au bord du lit, attendant à genoux. Ma Maîtresse s’asseyait et je devais ensuite retirer ses chaussons et lui embrasser les pieds. Elle aimait beaucoup ce moment où son mâle l’honorait en lui léchant amoureusement ses pieds. Puis ensuite, quand elle jugea que cela suffisait, elle tapa légèrement sur le matelas pour m’indiquer de la rejoindre.
Nous nous sommes enlacés, embrassés, caressés comme n’importe quel couple se préparant à l’amour. Puis une fois que ma Maîtresse fut bien excitée, elle me mit sur le dos, puis me chevaucha comme elle aimait le faire. Après sa jouissance, elle m’autorisa à prendre du plaisir à mon tour. Puis nous nous sommes enlacés comme deux amoureux. Nous avons discuté pendant un long moment, puis ma Maîtresse s’est levé et a disparut quelques instants dans la salle de bains. Elle ne m’avait rien dit, mais sûrement par réflexe, je descendis du lit à mon tour et me mis à ma place, à genoux devant le lit. Quand elle est revenue, elle portait sur elle le gode ceinture que je lui avais offert.
Avec un énorme sourire elle s’approcha de moi. Nous n’avions pas besoin de parler, et sans attendre je commençais à prodiguer une fellation sur le gode de ma Maîtresse, moi à genoux devant elle. Elle était contente et me caressait la tête pour m’encourager. Puis après un long moment elle m’ordonna de grimper sur le lit et de me mettre à quatre pattes. Ma Maîtresse me rejoignit et se plaça derrière moi. Elle me prépara avec ses doigts enduits de gel.
Cela dura de longues minutes pendant lequel je remuais mes hanches pour exciter ma Maîtresse. Puis, elle ne résista pas à son désir. Elle m’attrapa par les hanches et me pénétra en m’attirant vers elle. Elle était heureuse de me faire l’amour ainsi, et j’étais heureux pour notre premier Noël ensemble de lui offrir son fantasme. Elle ne l’oublierait pas de si tôt.
Nous avons ensuite passé un long moment à discuter dans les bras l’un de l’autre. On se caressait, s’embrassait de nouveau en se disant des mots d’amours. On était heureux. Il était presque trois heures quand ma Maîtresse m’avoua son envie de dormir.
- J’ai passé un excellent Noël mon chéri, et je suis très contente de l’avoir passé juste avec toi.
- Moi aussi Maîtresse je suis très heureux de t’avoir servi comme tu l’aimes.
- Oui tu es un bon soumis… Un mâle bien dressé qui donne beaucoup de plaisir à sa Maîtresse. Je suis heureuse. Alors comme j’ai essayé ton cadeau, tu vas maintenant essayer le mien. Tu vas aller dormir dans ton panier comme un bon petit chien, à ta place.
- Oui Maîtresse. Je te laisse dormir.
- Allez file, et joyeux Noël mon petit soumis
- Joyeux Noël Maîtresse
Je la quittais alors pour la laisser dormir et pour rejoindre ma place aux pieds du lit. Au bout de quelques minutes je me calais dans mon panier. Ma Maîtresse éteignit la lumière.
- Bonne nuit Maîtresse
- Bonne nuit mon chien. A demain.
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